Dans Un Salon De Massage "Particuier"
Cette fois, mon amant virtuel, ma ordonné daller dans un salon de massage « spécial ». Jai pris Rendez-vous en précisant que je souhaitais être massée par un homme. Je me suis habillée anti sexy pour aller au salon de massage.
Un soutien gorge en coton blanc simple, une culotte flottante blanche. A la réception une femmes dun certain âge, dans les 50 ans. Elle a lair un peu surprise. Elle me demande si jai rendez-vous après un bref bonjour un peu sec. Apparemment elle a plus lhabitude de voir des hommes que des femmes. Elle me demande si je suis bien au courant du genre détablissement dont il sagit. Je lui réponds, un peu bébête, que comme jai mal au dos, jai besoin de massage.
Elle me dit daller en cabine et de me déshabiller. La cabine est assez grande avec un miroir qui recouvre tout son fond. Je referme un rideau derrière moi. Je ne suis pas rassurée. Le grand miroir me semble bizarre. Fantasme ? Je me laisse aller à penser quil est peut-être une glace sans tain et que des personnes sont derrière et profitent de mon déshabillage. Cette idée déjà me donne des frissons. Jimagine, comme on la vu dans des films, des hommes cupides, pervers qui se rincent lil discrètement. Je me surprends à enlever lentement mon imperméable, puis mon chemisier, ma jupe, mes bas et mes chaussures. Des sandales sont à ma disposition, je les mets. Je me retrouve en culotte flottante, un peu large au niveau des cuisses et un soutien gorge de grand-mère. Ma panoplie de femme bien naïve, cest mon idée.
Soudain, le rideau souvre brutalement. Un énorme noir se plante devant moi avec un sourire un peu figé. Je pense quon a dû le prévenir il y a peu de temps et que cela ne devait pas le ravir.
Après un bonjour un peu froid, il me demande de le suivre. Jai les jambes qui se mettent à trembler, mélange de peur et dexcitation. Jai limpression de mouiller.
Dans la pièce de massage il y a également deux grands miroirs sur chacun des murs de part et dautre de la table de massage posée au milieu de la salle.
Il me demande de monter et de mallonger complètement sur le ventre. Il allume plusieurs lampes qui donnent un éclairage violent dans la pièce. Cest pour chauffer les muscles dit-il. Pour mieux me voir ? Il me prend les bras et me les fait mettre sous ma tête, coudes écartés. Ses mains sont chaudes et recouvertes dune peau douce. Une atmosphère tiède dégage une odeur de lavande avec une musique envoûtante. Tout concoure à labandon. Je ferme les yeux. Jai comme limpression dentendre des mouvements de lautre côté du mur. Mon imagination senvole. Jimagine des voyeurs qui matent mon corps et je frissonne de plus belle. Je ne vois pas mon masseur, mais je lentends qui saffaire derrière moi. Soudain je sursaute quand je sens un liquide huileux et chaud sétaler dans le creux de mes reins. Puis ses mains enduisent mon dos de cette liqueur. Son touché est léger, effleure à peine mes chairs avant petit à petit appuyer sa pression. Il doit bien se rendre compte que tout mon corps frémit sous ses caresses, car maintenant ce sont des caresses qui parcourent mon dos. Je sens par moment son souffle sur ma nuque tellement il est près de moi. Lentement je mengourdis dans un doux envoûtement. Je ne maperçois pas que je commence à gémir doucement. Puis ses mains quittent mon dos et semparent de mes cuisses. De ses deux mains il les presse, remontant de mes genoux vers mon entre jambes. Un premier passage et il sarrête à distance de mon sexe qui commence à me chauffer. Elles redescendent, passent les genoux et semparent dun mollet. La pression me fait trembler. Quand elles remontent, chacune sest emparée dune cuisse. Les genoux
les cuisses et cette fois je panique car elles ne semblent pas vouloir sarrêter et même je souhaite quelles montent semparer de ma chatte pour me faire jouir.
Il me tire de ma torpeur en me disant quil va défaire mon soutien gorge pour éviter de le salir avec son onguent. Et sans attendre ma réponse il le dégrafe dautorité. Il reprend alors son massage du dos après une nouvelle couche dhuile.
Mais cette fois il insiste sur les flancs de mon tronc, partant de la taille, remontant sous les aisselles. Ses doigts même sinsinuent sous ma poitrine pour, de plus en plus, sans en avoir lair, effleurer mes seins par le côté. Je ne sais pas comment mais je sens que je soulève légèrement mes épaules pour libérer le chemin vers les pointes de mes seins qui sont déjà toutes dressées. Les mains, se glissent dessous, semparent de mes bouts et sans un mot les fait rouler entre ses doigts. Le plaisir me fait perdre la tête. Alors, le salaud arrête et reprends son massage des cuisses. Jappelle ses caresses maintenant, je suis soumise, je le sais, il le sait. Il démarre du creux de mes genoux, et ses mains remontent, remontent et cette fois se glissent sous le tissu de ma culotte et me pétrissent les globes de mes fesses. Je gémis de plus en plus fort. En reprenant leur descente, elles accrochent le bord de ma culotte quelles font descendre lentement le long de mes cuisses. Je ne proteste pas, au contraire là aussi je soulève mon bassin pour lui faciliter la tâche. Il att mon soutien gorge et le dégage de dessous moi. Je suis maintenant nue sur sa table. Il me demande de soulever mon bassin pour glisser sous mon ventre un coussin et faire jaillir ma croupe. Aussitôt ses mains semparent de mes fesses et les pétrissent sans douceur. Ses pouces, en dedans, glissent dans ma raie mise à jour par les paumes qui écartent les globes et dévoilent mon trou du cul. Je deviens folle. Lhomme transpire, il dégage une forte odeur bestiale qui me fait perdre la tête. Je suis prête à lui autoriser tout ce quil désire. Cest de moi-même que jécarte mes cuisses ouvrant le chemin vers ma chatte en feu.
Maintenant jen suis sûre, les bruits derrière le mur sont précis. Il y a des personnes qui matent. Mais cela mexcite encore plus. Maintenant, ses doigts fouillent mon sexe, tournant et se retournant pour échauffer les chairs à vif. Soudain, la sensation dun gland me parvient sur mes flancs.
Il se frotte la bite contre moi. Je ne peux mempêcher davancer la main et la saisir. Elle est énorme ! Jamais je nai senti une telle colonne de chair. Elle est toute mouillée, et sent très fort. Je garde les yeux fermés même quand jentends une porte souvrir dans le fond de la salle. On entre, je perçois plusieurs respirations autour de moi. Des mains aussitôt parcourent mon corps, fouillent mes orifices, un sein se présente à ma bouche, je le prends entre mes lèvres et je le suce. Jentends un gémissement de femme. Alors tout saccélère, je sens quon me prend les hanches quon me soulève, des doigts ouvrent mes intimités, des lèvres les remplacent aussitôt. Un gland chaud et doux force lentrée de ma chatte. Je suis si trempée quil senfonce sans difficulté. Il arrive rapidement au fond de mon vagin en même temps que ses boules viennent frapper mon entre jambes. Le plaisir menvahit. Ils sont combien autour de moi ? Impossible de me rendre compte. Celui qui me baise arrive très vite à la jouissance comme je sens ses mains se crisper sur mes hanches, les attirer à lui et se bloquer au fond de mon vagin pour y déverser sa semence en râlant. Je nai pas le temps de jouir. Aussitôt une autre bite prend sa place et commence à me limer. Pendant ce temps, on force mes lèvres et un autre sexe demande à me violer la bouche. Je mouvre là encore. Jai envie dêtre prise par tous mes orifices, je veux être leur jouet et céder à tous leurs caprices. Cette fois celui qui me baise prend son temps pour échauffer mes chairs brûlantes pourtant. Je le sens qui senfonce lentement pour aller buter au fond de mon vagin. Petit à petit il accélère, je remue mes fesses pour mieux le sentir, le contenir. Quand il commence à râler jatteins à mon tour ma jouissance. Je crie, je lui demande de me défoncer, de me remplir. Je suis devenue folle de plaisir. Nous jouissons ensemble alors que la bite que jai dans la bouche éjacule le sperme qui manque de m.
Je suis à bout de souffle.
Jai avalé tout le foutre, je sens quil en sort de ma chatte. Mais déjà, on mouvre les fesses et jentends la voix de mon masseur qui dit quil a envie de menculer. Je repense à la taille de sa bite et je prends peur. Je nai pas le temps de réagir que déjà son gland pousse pour me pénétrer le cul. Il est gros et il a du mal à sintroduire. Je remue mon bassin pour laider. Il pousse de plus en plus fort et mon sphincter cède laissant cette bite souiller mes entrailles. Mon petit anneau est écartelé, jai mal, je serre les dents, je ne veux pas quil me laisse là et je pousse même cette bite vers mes fesses pour laider à me défoncer la rondelle. Je jouis très vite une seconde fois tandis que je sens la chaleur du sperme remplir mon cul en rapides éjaculations. Je nen finis pas de jouir tellement cette situation me comble. Jatteins sans attendre un second orgasme dune violence rare. Jentends des rires autour de moi, on me traite de salope de bourgeoise mal baisée. Jai honte mais le plaisir me tétanise. Au plus fort de ma jouissance des jets de sperme atterrissent sur mon ventre, mes seins. Des hommes autour se sont branlés devant le spectacle et moffrent leur jouissance.
Une fois le calme revenu dans la petite pièce, envahie dodeurs de pisse et de sexe, jentends les pas séloigner et quand la porte se referme, je suis seule. Je vais dans ma cabine, je me rhabille toute collante de sperme. Je rentre chez moi comblée mais avec des jambes de coton.
admin
Jan. 31, 2023
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